Déjà 30 ans que Fabrice explore le métier de peintre. A peine sorti des Beaux Arts, l’artiste se lance dans le portrait, le déclinant de multiples façons pendant 10 ans.
Il bifurquera ensuite vers la représentation de scènes quotidiennes, en parallèle à la peinture de paysages. Œuvres qui seront rapidement suivies par la peinture de scènes littéraires, retraçant ainsi la passion de Fabrice pour l’histoire de l’Iliade ou encore La tentation de St Antoine.
A l’heure actuelle, le peintre a décidé de se plonger dans l’ère numérique en explorant désormais le lien reliant la photographie numérique et la peinture contemporaine.
Si Fabrice était une œuvre d’art :
« Le Retable d’Issenheim, de Matthias Grunenwald, consacré à St Antoine, provenant d’un couvent de Colmar. Ce fut pour un moi un choc esthétique de par l’exacerbation des couleurs. Leur excessivité. J’aimerai créer un tel rapport entre les couleurs dans mes peintures. »
Si Fabrice était un musée :
« Le Louvre. Cela peut paraître peu original, mais ce musée offre une réelle expérience rétinienne des œuvres. L’éclairage, souvent neutre, provenant parfois des fenêtres, prend en compte le volume et la forme des objets. »
Photos © François Buclet – 2014
