Josée Landrieu a travaillé plusieurs années auprès d’Olivier Wahl à Paris puis a rejoint un petit groupe de peintres réunis autour de Caterine Marthin au sein de l’Atelier Traces.

A Nice, où elle réside une partie de l’année, elle prolonge son expérience picturale par une approche du dessin contemporain à L’Ecole d’Arts plastiques sous la direction d’Anne Pesce.

Son activité professionnelle, dans le domaine de la prospective, l’a conduite à s’intéresser aux transformations silencieuses qui trament les mondes en émergence. Elle est également praticienne de  Qi Gong.

Sa peinture est marquée par ces diverses influences. Elle est à l’écoute du souffle qui la relie à l’espace et au mouvement des êtres, des choses, des couleurs. Elle s’intéresse à l’inattendu, aux états indéterminés, aux entre-deux, aux moments indécis.

Si Josée était une œuvre d’art :
« Un mobile de Calder, qui danse dans l’espace et sans cesse modifie mon regard. Ou une gouache de Bram Van Velde. »

Si Josée était une couleur :
« Le bleu, le bleu de la mer qui se mêle au ciel, le bleu de l’infini, le bleu chargé des parfums de mon enfance. »

Si Josée était un musée :
« Le musée qui réunirait les artistes anonymes rencontrés au cours de mes voyages, en Afrique et en Asie, ou à la fête d’une école maternelle. »

Si Josée était un monument :
« Un grain de sable déposé sur le rivage, à la fois temps et espace, il est pour moi l’infiniment petit qui contient l’univers. »

Si Josée était une musique :

« Le bruissement des insectes un après-midi d’été, allongée sous un figuier. »

Photos de : © Mathieu De Pasquale – 2014

ATELIER

9, rue Jacques Louvel-Tessier, 75010, Paris
Email : josee.landrieu@orange.fr