ŒUVRE PRÉSENTÉE :
« Hibakusha »
Photographie numérique
40×50
Cette série de photos fut directement inspirée à l’artiste par le
visionnage d’un documentaire traitant des bombardements atomiques à Hiroshima et Nagasaki. Une anecdote sur deux photographies prisent sur l’épicentre du drame, ayant échappé aux radiations et retrouvé miraculeusement intact l’on touché plus particulièrement.
Ces clichés représentant des enfants et adolescents ont permis d’effectuer des recherches de survivants ou familles pouvant les identifier et témoigner du drame. « Et si ces photographies avaient été prise quelques fractions de secondes avant l’impact ?», voila l’idée qui a germé dans l’imagination de Caroline et qu’elle a souhaité mettre en image. Un épais nuage de particules emprisonne les personnages, ils semblent comme suspendu dans le temps juste avant que leur vie ne bascule. Avant que cette lumière intense ne transforme leurs gênes et leur futur à jamais, figeant ainsi leur jeunesse et leur beauté pour l’éternité.
Hibakusha est le nom donné aux survivants des bombardements atomiques, ils furent mis à l’ écart de la société japonaise pendant longtemps par peur des radiations et du manque d’informations concernant les effets sur le corps humain que beaucoup pensait contagieux.
De ce fait malheureusement très peu d’Hibakushas osèrent témoigner. Tanka (poème Japonais sans rimes) de Tsutomu Yamaguchi survivant des deux bombardements à Hiroshima et Nagasaki.
« Dans la belle Hiroshima l’aube arrive ce matin enflammée et rugissante venant vers moi dans la rivière un radeau humain flotte. »
Si Caroline était une œuvre d’art ?
La Vague de Hokusai.
Si Caroline était une couleur ?
Le bleu.
Si Caroline était un monument parisien ?
Le jardin des Tuileries.
Si Caroline était une citation ?
Tout vient à point à qui sait attendre.
Si Caroline était une invention ?
Un instrument de musique.
Si Caroline était un site internet ?
Mon site internet.
Si Caroline était une heure de la journée ?
2 heures du matin.
Si Caroline était un des cinq sens ?
Le toucher.
Si Caroline était un dessert ?
Une île Flottante.
Si Caroline était une chanson ?
LIEU D’EXPOSITION :
6 Rue Sainte-Anastase
75003 Paris
Plan Google ici
Site internet : http://www.galerierastoll.com/