ŒUVRE PRÉSENTÉE :
« Oeil polyptique »

Tableau polymorphe – 2015
Miroirs, métal, bois, métal, verres optiques de dioptries variées.

​Extrait d’un article me présentant :
​« Son art s’inspire largement de la mise en scène photographique. Le trompe l’œil, le flou, la réflexion de miroirs, la transparence, l’opacité etc … autant de préoccupations qui sont au cœur de l’œuvre. La décomposition des mouvements de Marey, les mondes paradoxaux d’Escher suscitent un vif intérêt chez l’artiste et font corps avec son travail de recherche.
L’artiste exploite avec adresse l’opposition complémentaire entre les pleins et les vides, la ligne et les surfaces uniformes. Elle tire de ses matières toute la vigueur sensible qu’ils sont capables d’émettre et de transmettre. Son but, dérouter nos sens et notre perception de la réalité. Elle crée un autre univers parallèle et versatile à l’intérieur même du Monde réel.
Le travail de l’artiste s’accomplit dans une optique large et contemporaine. Les matériaux choisis s’inscrivent dans cette lignée d’un monde global gouverné par une interaction du visible et de l’invisible, du mobile et du statique.
L’artiste aime explorer les époques afin d’en saisir la substance et la mettre à profit dans ses œuvres. Ses intérêts naviguent entre hier et aujourd’hui avec une inimitable griffe contemporaine.  »
Martine Bouchard – Site Chroniquart – Canada

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Si Édith était une œuvre d’art :
« Mélancolie et mystère d’une rue de Giorgio de Chirico. De Chirico propose dans ses tableaux des images énigmatiques, pleines de mystères. Un monde de l’inconscient et du rêve que j’aime partager.»

Si Édith était un musée :
« Les Arts et métiers. Lieu des aventuriers de l’histoire des techniques où règnent l’invention, la création et la technique »

Si Édith était un monument :
« La Sagrada Familia de Gaudi. L’inachevée, un projet fascinant, unique, génial dans lequel l’architecte Gaudi a mis en scène des textures inédites. »

Si Édith était une couleur :
« Le bleu. Bleu d’opale, un lien avec la région de la Côte d’Opale dont je suis issue. »

Si Édith était une musique :
« Stabat Mater – Marco Rosano. Une musique envoûtante avec la voix céleste du contre ténor Andreas Scholl. Mais aussi un instrument, et là, je serais la trompette d’Erik Truffaz, un univers de découvertes sonores dans le monde entier. Mais je décolle aussi en écoutant en boucle la musique d’EST avec l’énergie fabuleuse sur le clavier d’Esbjörn Svensson, malheureusement disparu. »

LIEU D’EXPOSITION
logo-Ecole archi
Galerie de l’École Spéciale d’Architecture
254 boulevard Raspail, 75014 Paris

@ : edith.delattre@gmail.com
www.edelattre.fr