Luke Darko

Luke Darko
Né en 1978. D’abord artiste peintre plasticien puis photographe, ce qui l’a conduit à exposer notamment à Paris, Londres, Montréal , Tallinn et Bruxelles.
Il fait un passage à l’École des Gobelins de Paris, où il apprend la technique de la photographie, notamment l’usage de la lumière. Il développera par la suite ses propres enjeux artistiques, au hasard des rencontres et des amitiés. C’est pourquoi il aborde son travail de photographe avant tout avec l’œil de l’artiste, attaché à créer une émotion et à soigner le rendu visuel dans tous ses détails. Les jeux de lumière, de volumes et de contrastes sont des éléments fondamentaux de son « univers ».
Désormais il travaille à Paris dans le domaine de la photographie de mode. Depuis peu, il travaille pour des marques de luxe pour le marchéasiatique et Russe.

« Mon projet artistique est une partie intégrante de moi. Un reflet de mes interrogations et de mes sentiments. Mes rêves et mes cauchemars sont ma source d’inspiration. J’essaie de les analyser et de leur donner du sens pour les retranscrire dans mes photos. Rien que le choix du nom du projet est une manière de dire aux gens qu’ils pourraient changer la façon dont ils considèrent les choses dans leur vie, de ne pas se fier aux standards de notre société. La beauté est partout. Même dans les situations les plus inappropriées ou dans les personnes. La beauté peut se cacher dans un très jeune enfant ou une très vieille femme… Mon but est de la révéler et de la montrer aux gens, sans pour autant se désavouer, juste tolérant et ouvert.

J’ai appris beaucoup de choses en regardant le travail de David La Chapelle, Erwin Olaf, steven klein, ou Helmut Newton, Annie Leibovitz, Tamara Lempicka, Hieronymus, Bosch. Bien sûr, je reçois aussi mon influences dans des situations de tous les jours : un document que je vais lire, le visage de quelqu’un que je vais regarder dans le métro, la musique que je vais écouter ou le film que je vais voir. Mon travail servira de catalyseur. Je veux être un révélateur, pas un fixateur. J’introduis dans leur milieu un élément qui va les faire réagir. Ils réfléchissent avec leurs propres briques de connaissance et de savoirs. Et ils repartent après suivre leur propre chemin. Je suis un artiste, pas un gourou. Je propose de réfléchir ; je ne donne pas de réponse. »

Si Luke était une œuvre d’art ?
Le jardin des Délices – de Hieronymus Bosch.

 Si Luke était une couleur ?
Pantone #434.

 Si Luke était un monument parisien ?
Le monument des Droits de l’Homme d’Ivan Theimer.

 Si Luke était une citation ?
« Tout finit toujours par s’arranger, même mal ».

 Si Luke étaitune invention ?
La lumière.

 Si Luke était un site internet ?
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 Si Luke était une heure de la journée ?
Je ne sais pas vraiment laquelle, mais sûrement moins le quart…

 Si Luke était un des cinq sens ?
Le sixième…

 Si Luke était un dessert ?
Une mangue.

Si Luke était une chanson ?

LIEU D’EXPOSITION :

http://www.centre-les-recollets.com/les-recollets/
150-154, rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris (plan ici)
Métro : Gare de l’Est – Lignes 4, 5 et 7
Site internet : www.bear-rupture.com